Au cours de cette campagne de sensibilisation dans 11 écoles secondaires de la ville de Baraka. A savoir : l’institut MWENGE WA TAIFA, l’institut MASOKA, l’institut MULENGEZI, l’institut DE BARAKA, l’institut LYCEE MAMAN YEMO, l’institut FARAJA, l’institut la CHARITE, l’institut UMOJA, l’institut de la FORTUNE, l’institut MSHIMBAKYE et l’institut KALUNDJA, nous avons procédé à la méthode de focus groups. En dehors de la sensibilisation, nous avons consacré le temps à écouter nos interlocuteurs par catégorie (filles âgées entre 11 à 17 ans et entre 18 ans et plus. Pareil pour les garçons. Les enseignants ont été sensibilisés et écoutés séparément avec leurs préfets).
940 personnes soit 66 pourcents de personnes attendues ont bénéficié directement de nos activités.
Comme le changement de comportements exige un long processus, plus de 55% de bénéficiaires ont émis la volonté non seulement de nous revoir dans leurs écoles, mais surtout d’ériger de brigades scolaires de suivis et de plaidoyers des actes de violences sexuelles en milieux scolaires. Des mécanismes sont entrains d’être étudier pour pouvoir réaliser cette activité ambitieuse visant l’amélioration des conditions d’enseignement en milieux scolaires non seulement en faveur de filles scolarisées à Baraka mais aussi celles de tout le territoire de Fizi où le phénomène est fréquemment rapporté.
Il sied de signaler qu’à part la thématique relative aux zéro grossesses en milieu scolaire, nos bénéficiaires ont aussi été outillées sur les mécanismes de promotions de leadership féminin. C’est notamment d’élire des cheffes de classes filles.
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